Aujourd’hui je présente le Dump en Sorbonne. Il faut que j’y dépose encore l’introduction à laquelle j’avais pensé et qui me semble maintenant inappropriée. On ne peut cumuler les écarts à la règle sans risque d’y perdre le sens premier du geste.
« On me l’a dit il faut faire court…
…pour contrebalancer les pages les mots dits tiendront en une phrase que j’énonce ici et qui me permet de rappeler que longtemps la question se posait à moi du pourquoi-faire-thèse? quand la recherche faisait mon quotidien sous la forme nécessaire de la production sans cesse mise en questions, quand les résultats s’enchaînaient me disant combien ce que je visais n’était pas là , toujours ailleurs et d’ailleurs je m’en accommodais fort bien comprenant que la fuite de l’ennui était comme l’objectif qui se redéfini sans cesse sur le métier, horizon hors d’atteinte, et j’avais imaginé que je pourrais m’en satisfaire sachant combien l’académie ne saurait prendre en compte une pratique non discursive, non verbale, qui s’éloignerait de l’odeur du papier pour sauver les forêts de mots trop nets pour ne pas cacher quelque chose de pas propre que j’espérais encore voir surgir dans les dérives et les débordements de la mise en forme Lire le reste de cet article »