Peut-on imaginer une Å“uvre qui errerait en quête de sens par le fait même qu’il deviendrait impossible de lui attribuer un titre définitif ? Chaque proposition tirerait l’image dans une direction différente sans qu’aucune n’exalte totalement son potentiel, et sans pour autant que l’absence de titre (Sans titre) ne suffise à lui octroyer le statut précaire de candidat à l’appréciation ?
Le Titrisme, carrière d’artiste probable dans sa forme radicale, relève de cet art consommé (et surtout consommable) de transfiguration du banal par la dénomination.
J’évoquais la chose à propos de Tout est vrai, c’est là l’erreur !
Je l’applique à la lettre dans les projets récents :
Discrimination positive, Constellation, concentration, I Want You!, Missing the Point.
titrister pourtant c’est marrant. Juoer avec le langage peu enrichir le concept innitiale. Le titrisme je le perçois comme un process de cration à part entière.